Rabah, sans papiers, vit en squat, avec l’eau et l’électricité. Une situation de confiance s’est établie entre le propriétaire et lui. En chemin sur son vélo électrique pliable, il réalise de nombreuses tournées et rend visite à d’autres personnes en situation précaire afin de leur apporter un soutien. Quand il ne sillonne pas les rues de Bruxelles, il participe activement à une vie culturelle faite de musique, de magie et de théâtre. Car « il ne faut pas laisser le vide prendre toute la place, dans la tête comme dans le cœur ».