Rahim :« Je veux être en règle, c’est important pour que je me sente en sécurité que les choses soit en ordre », affirme celui qui dit aussi vouloir dépendre d’aucunes aides sociales. Couturier de formation, Rahim partage en location un minuscule atelier avec Diallo, un autre membre de la coopérative, où il travaille d’arrache-pied sur sa machine à coudre le jour, tandis qu’il travaille la nuit comme gardien